De l’autre côté du livre, chapitre 30 : tout vient à point… 2


Its just a sandbox, par Zach Dischner

Depuis le chapitre 18, le 22 juillet 2011, je m’efforce de rendre attrayante l’attente de l’auteur qui envoie son manuscrit en pâture aux maisons d’édition… non sans quelques difficultés. Elles m’ont obligé à revoir le rythme de ma chronique – théoriquement mensuelle, depuis le 30 janvier 2010 et ce billet, dans lequel je m’engageai à vous faire partager de l’intérieur l’aventure d’Un dollar le baril, jusqu’à son éventuelle édition (à compte d’éditeur) et tout ce qui s’ensuivrait.

Mes chroniques devraient reprendre à un rythme soutenu, puisque le 6 novembre 2012 ne restera pas dans ma mémoire uniquement comme le jour où Barack Obama a été réélu Président des Etats-Unis. Fin août, je n’étais pas passé très très loin du but, souvenez-vous (chapitre 29).

Deux mois plus tard, il y a une grosse dizaine de jours, je m’en rapprochai encore, avec un refus au motif inédit : le contexte économique. Les méventes des livres sortis à la rentrée l’ont obligé à revoir ses choix éditoriaux.

C’est un coup de fil, ce mardi matin, qui permet désormais, après l’écriture, après la recherche d’éditeur, de rentrer dans une troisième phase, l’édition et la promotion.

Je ne vous en dis pas plus pour l’instant – vous êtes déjà au courant avant tout le monde ou presque -, notamment parce que tout n’est pas encore signé. Je reviendrai dans le détail sur les événements dans une quinzaine de jours.

Les plus impatients d’entre vous pourront toujours se rendre le dimanche 18 novembre sur mon blog, issu de ces chroniques : un coin du voile s’y lèvera. Vous n’êtes pas au bout de vos surprises !


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