Un film, « Un jour sans fin », souvenirs d’un moment de partage entre frères, il y a quelques années.
Un fim réalisé par Harold Ramis, avec Bill Murray et Andie Mac Dowell, un personnage, cynique, misanthrope, désabusé, présentateur de la météo, va faire un reportage dans une ville de province, sur le jour de la marmotte, le 2 février, tradition aux USA, qui consiste à demander à une vraie marmotte si l’hiver est fini ou pas. Il le fait mais pas de bon coeur, bloqué sur place par le blizzard, le lendemain en se reveillant il se retrouve le jour précédent, seul lui vit ce moment, il se trouve dans une dimension parallèle, perdu il tente de se suicider, de courtiser sa collaboratrcie et chaque fois qu’il est sur le point de mener son action au bout il se réveille et revient le jour d’avant , puis il se lasse, et finalement il va se laisser porter, apprendre à se connaître, à vivre avec les autres, jusqu’au jour où sans doute se sera -il enfin trouvé, il passera la nuit avec sa collaboratrice et alors il se réveillera le 3 février….
Boris a été interpelé par ce film, par le personnage, des questionnements, comment lui il réagirait à la place du personnage, et puis la chance donnée à la chaque fois au personnage de se trouver pour continuer, chance que l’on n’ a pas dans la vie…
Un rôle interprété brillament par Bill Murray, un film qu’il a revu plusieurs fois ….