Rentrée littéraire 2014, chronique 2 : L’Envoleuse
« Gisèle se tient magnifiquement seule au milieu d’un printemps que je devais bientôt haïr. Gisèle n’a pas peur de vous regarder. Dans ses yeux, on lit la peine et la joie, le désir et la colère, et jamais le trouble et jamais le doute »