Durant notre stage de base, nous avons eu la chance de découvrir le monde du livre en rencontrant un auteur, Brigitte Peskine, un éditeur , Stéphane , de l' »Atelier du poisson soluble » et un libraire, Frédéric, de l’Herbe des Talus à Dijon.
La discussion a été mouvementée entre Brigitte Peskine qui parle avec son cœur et sa sensibilité et Stéphane qui cherche l’album, qui sort de l’ordinaire et qui ne laisse pas indifférent, qui est plus dans « le commercial ».Frédéric, lui , nous a expliqué le fonctionnement de sa librairie , ses choix de livres …Il travaille avec des collectivités et va sortir ses deux premiers albums en septembre…Bonne chance ! ; )
Nous avons découvert tout un monde et je porte un autre regard sur le « LIVRE »…
Merci à Stéphane pour ses lectures à haute voix ( quel talent!) … cet éditeur nous surprend à chaque albumLes illustrations sont toujours extraordinaires, bref un « petit éditeur » qui fête ses 20 ans, mais sa collection est à faire découvrir dans nos bibliothèques (allez voir leur site…)
Pour terminer Brigitte Peskine nous a laissé un fort joli message « Aimer les livres » pour mieux les défendre et les faire lire…
Le libraire nous a laissé une note d’espoir (après la petite phrase de Stéphane « Il en va du commerce du livre de ne pas aller dans les « grandes distributions »…) : « Au bout du local à poubelles , il y a toujours des coquelicots qui poussent… »
A nous de trouver les coquelicots…
Merci pour ces belles rencontres !
De gauche à droite: Frédéric, Stéphane et Brigitte.
Ah oui ! j’avais oublié cette nouvelle citation pleine d’espoir …
Effectivement, l’apres midi fut très interessante. Et, j’ose employer du passé simple, que certains éditeurs déconseillent aux jeunes lecteurs …
Oui, ce fut une après-midi très intéressante qui nous a permis d’échanger avec trois personnalités très riches et pour les stagiaires de découvrir que l’économie du livre n’était pas un monde protégé. Faire sa place et la garder, comme auteur, comme éditeur et comme libraire n’est pas chose aisée, et certains (e) en gardent une réelle amertume. Heureusement qu’il y a des gens passionnés comme ceux-là qui défendent une certaine idée de la lecture et de la littérature. Aux bibliothécaires d’être les relais. Je suis sûre qu’après cette rencontre, les stagiaires auront à cœur de le faire
Ah de nouveau Chermédia, mais je suis un peu perdue!!!
Un p’tit mot pour dire que mon nom de famille n’est pas une marque de voiture française et que je n’ai qu’un « l » à mon prénom!!!
Il va falloir comprendre comment marche ce « nouveau « Chermédia », il a l’air plus riche!!!à nous de travailler dessus!
Je vais essayer de mettre nos animations!