Le moment tant attendu arrivait à grands pas, près de trois années pleines après la fin du premier jet. Le 21 janvier devait être la date fatidique. Les conditions climatiques d’un côté (neige et verglas), la surcharge de travail de l’autre ont légèrement décalé le timing. D’une semaine pour le livre papier, de deux ou trois pour le numérique.
Mais ces péripéties ne changent finalement que peu de choses. Si chaque éditeur fait ou fera, chacun avec ses outils, ses réseaux et ses stratégies propres, l’auteur peut, a intérêt, doit (rayer les mentions inutiles) à préparer et à accompagner la sortie de son livre. Un dollar le baril n’échappe pas à la règle.
Ce fut chose faite ces dernières semaines, en dépit de mes petits soucis de santé. A grands coups de courriels, de billets sur les forums, de courtes phrases et de liens sur les réseaux sociaux,… j’ai multiplié les contacts pour promouvoir le livre, engranger des réservations pour la version papier & susciter l’intérêt pour les deux versions du livre, caler aussi des dates pour les futures dédicaces.
Commencer aussi à se préparer aux questions que lecteurs futurs ou potentiels, journalistes, pourraient poser.
Peu d’effets visibles, une campagne de réservation morne et finalement assez décevante, le moral est pour l’instant assez bas, parce que beaucoup de difficultés s’accumulent en ce début d’année.
Attendons le lancement de la version numérique, les premières critiques de lecteurs… Vivement que janvier se termine, finalement.
Pour ce qui est des dédicaces, la première aura lieu le samedi 9 février à Vierzon à partir de 9h30, chez Jean Catinaud, rue Voltaire. Bourges suivra début mars… Mais nous aurons l’occasion d’en reparler.
Dernière chose, et parce qu’il est maintenant connu et qu’il ne tardera pas à apparaître sur vos écrans et dans vos bases de données, l’ISBN du livre papier : 978-2-35168-537-2
Bon courage à tous, et peut-être à bientôt,