Brasser du vent
A l’aide de cet instrument
Noué à mes poignets
Dirige mon âme et m’enchante
On est éphémère
Nul ne peut le nier
Et dans ce monde obscur
Orchestré par la folie humaine
Nul ne peut en réchapper
Nicolas – Jérémy – Léopold
Maintenant que c’est le printemps
Une valse à quatre temps
S’insinue dans mon esprit
Instantanément aujourd’hui
Qui donc aurait pu inaugurer
Une seconde l’éternité
En un mot que je ne sais danser ?
Demain pourtant ce sera différent
Une somba naîtra et je reprendrai rang
Malgré vos airs moqueurs
O combien ironiques
Naître un vrai bonheur
Dans un monde de musiques
En un mot polyphonique
Alain –