Le musée de la Résistance et de la Déportation du Cher propose à ses visiteurs une ouverture exceptionnelle de ses espaces d’expositions temporaire et permanente, avec des visites guidées de la nouvelle exposition consacrée aux maquis.
Les massacres des puits de Guerry à Savigny-en-Septaine, qui ont eu lieu les 24, 26 juillet et 8 août 1944, constituent un des faits les plus marquants de la période de la Libération dans le Cher, et un témoignage atroce du génocide juif entrepris par les nazis en France.
En 1943, Inès et Léon créent leur maquis dans le sud-ouest, avec les paysans du coin et les guérilleros espagnols exilés. Entre deux combats, Inès, la tireuse d’élite andalouse, donne naissance à Joseph, et elle invente une nouvelle vie pétrie de secret et d’humanité, où la beauté tient tête à la mort chaque jour.
Fondé par Winston Churchill en 1940, afin d’engager des actions de renseignements et de sabotages dans toute l’Europe occupée, le Special Operation Executive, ou SOE, a fait du Berry, territoire le plus septentrionnal traversé par la ligne de démarcation, un terrain de prédilection pour l’implantation de ses réseaux.
« Le grand duc vole de nuit », «Le dentiste est enragé», « Vercingétorix a quitté Alésia »… Tout le monde connaît ces phrases poétiques ou incongrues et les associe à l’écoute clandestine des programmes radio de la BBC pendant la Seconde Guerre mondiale.
Partagez l’histoire de votre famille pendant la Première Guerre mondiale ! Participez à la Grande Collecte entre le 11 et le 15 novembre 2013 avec les Archives départementales du Cher !
Parce qu’elle repose sur l’engagement et se construit sur le secret, la Résistance reste à la fois un mystère et un enjeu de polémiques partisanes. Amorcée dès juin 1940, elle parvint à s’unir à l’ombre de la croix de Lorraine, grâce aux patients efforts de Jean Moulin, tout en affirmant son indiscutable pluralisme.
Paris, le 16 juillet 1942, Paul apprend que, dans l’aube grise, arrivent de province des cars remplis de gendarmes et des autobus vides. Aussitôt, enfourchant son vélo, il traverse la capitale pour prévenir la population juive de ce qui l’attend.
Convaincu de l’aptitude du 7e art à refléter les évolutions de l’opinion, Michel Jacquet examine le traitement réservé à la période de l’Occupation par le cinéma français.
