par le Théâtre de l’Olivier
Vendredi 19 et samedi 20 février à 21H
Vendredi 26 et samedi 27 février à 21H
« Garder la mémoire de tout, ne rien oublier, nothing » Adel Hakim
Quelles sont les forces qui poussent un homme dans le processus de la barbarie ? Avant de s’éteindre, le dernier survivant d’une guerre civile revit les événements. Son enfance de garçon pacifique, d’abord, dans un milieu où tout semble aller bien, mais où règnent des tensions confessionnelles entre deux clans : les Adamites et les Zélites. Un jour, la guerre se déclenche : exécutions arbitraires, injustices. Le jeune homme passe au travers des événements, qu’il regarde avec innocence. Les deux clans s’affrontent. Appartenir à l’un ou à l’autre devient un péché originel, une tache dont on ne peut se débarrasser. Le dernier mâle encore en vie, comme Astyanax dans Troie, l’ultime milicien, raconte et danse sur les ruines. En une économie vitale de ses faibles ressources, il tente de reconstituer une logique des événements. Mais sans cesse il perd le fil, sans cesse il est renvoyé à la déraison. Cet homme – mémoire des hommes – revit la chute : la naissance de la haine, les amours balayées, la croyance en un dieu vengeur, les victimes devenues bourreaux, la fuite vers le néant…Hadel Hakim
Spectacle créé sous l’oeil attentif de Véronique Bordaçarre
Jeu : Olivier Bordaçarre
Lumières : Patrick Jeantet
Résidence de création à la Carrosserie Mesnier
« Un spectacle qui vous laisse collé au siège » – Gérald Castéras Carrosserie MESNIER
« Un comédien qui subjugue. Définitivement. Du théâtre coup de poing. » Jean-Louis Châles La Marseillaise
Tarifs : Vendredi 19 février : séance gratuite réservée aux adhérents
samedi 20, vendredi 26 et samedi 27 février tarifs habituels