James Howard, l’homme polyphonique 1


La technique du multitrack, le fait de s’enregistrer plusieurs fois, permet au musicien danois James Howard de jouer seul des concertos ou des symphonies au mélodica comme le troisième concerto brandebourgeois de Bach joué pour 10 mélodicas ou encore plus fort la transcription de la symphonie No 40 de Mozart pour 15 mélodicas !!!

jho

Un tour de force qu’il réitère avec 10 flûtes à bec pour donner une version de la Canzon primi toni à 10 de Gabrieli. Cerise sur le gâteau, il filme et monte lui-même les vidéos de ses prestations saisissantes, jugez plutôt :

[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=sum8BpwsZSM&feature=player_embedded[/youtube]

Vous aimez ? Alors n’hésitez pas à écouter l’émission le Webophone animé par David Christoffel de 7h40 à 7h45 sur France Musique, c’est là que j’ai entendu parler de ce petit génie du multitracking et si vous en voulez plus, faites un petit tour du coté des archives de l’émission. Vous trouverez, en vrac, le top 11 des compositeurs de musique minimaliste, Richard Grayson un compositeur et pianiste américain qui court les récitals où il interprète n’importe quel thème dans n’importe quel style, par exemple le thème de « Star Wars » dans le style d’une gavotte baroque ou le thème de « Dark Vador » dans le style de Beethoven. Mais aussi vous allez comprendre pourquoi le thème de la Panthère Rose fonctionne particulièrement bien à la manière de Jean-Sébastien Bach ou comment deux violoncellistes peuvent être envoutés par Michael Jackson…Alors bon surf

[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=OlVbEclPj4c&feature=player_embedded[/youtube]


Laissez un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

30 − 27 =

Commentaire sur “James Howard, l’homme polyphonique