Pour écrire un texte, parfois,
je sue sang et eau,
je bats l’eau avec un bâton.
Alors, je lance une bouteille (d’eau) à la mer…
pour éviter la chute d’eau !
Peut être me faut-il mettre de l’eau dans mon vin
pour amener de l’eau à mon moulin ?
Que tout soit clair comme de l’eau de roche,
ainsi je serai comme un poisson dans l’eau,
au lieu de me noyer dans un verre d’eau.
Allons, je dois me jeter à l’eau,
laisser courir l’eau,
afin de revenir sur l’eau.
Sortir de l’eau morte,
nager dans le cours d’eau
et atteindre la vive eau !
Ou rêver en eau douce
que je suis encore dans les eaux.
Prier la faune des eaux,
Espérer les grandes eaux
afin que les eaux jaillissantes de ma pensée
s’écoulent en une écriture d’eau vive
comme une véritable souce de vie
merci Katherine pour cette poesie. Une bouffée d’air !? dans notre quotidien agité.
Oh ! C’est b…eau, comme Othello ou un agneau. J’en ai l’eau à la bouche !
Pour écrire comme ça, il faut sûrement être du signe du Verseau.
Moi qui ai écrit tôt,en commençant sur des écriteaux, avec des stylos et un style haut en couleurs, je n’ai pas ce génie dans la peau. Je suis plutôt sot…so british.