Rentrée littéraire 2014 : On ne voyait que le bonheur de Grégoire Delacourt 1


delacourt

Sur les photos, on ne voit souvent que le bonheur… Grégoire Delacourt, à travers le récit d’Antoine, expert en assurances pour qui la vie se décline en chiffres, nous parle de ce qu’il y a derrière les sourires. Les fissures, les blessures et les drames. Il nous parle de fatalité et de paternité, d’enfance et de famille. Celle qu’on a et celle qu’on se choisit. Il nous parle aussi de « réparation » et de pardon.
« Nul ne guérit de son enfance » dit une chanson de Ferrat. Peut-être que si et que, comme le dit Grégoire Delacourt, « finalement, nos vies valent la peine ».
J’ai beaucoup aimé ce livre. Beaucoup beaucoup…

Une chronique de Laurence Andrade de Rians

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