« Vous êtes bien Clinty Dabot, le célèbre handicapé ? »
Premier échange entre la fée Benninkova et Clinty, notre héros et premier éclat de rire à la lecture de ce roman malicieux. Elle est poursuivie par de « grands lutins noirs, tueurs de bonnes fées« . Elle a perdu sa baguette magique : bref, une fée en détresse.
Lui, il est tombé amoureux de Marylène, la sublime caissière du supermarché… Handicapé, il n’en est pas moins homme… Et Marylène cèdera, contre rétributions exponentielles, à ses désirs de plus en plus précis : la voir, un sein puis l’autre, puis les jambes et c’est tout son corps que Marylène finira par dévoiler à Clinty. La toucher, enfin : un sein puis l’autre, puis les jambes et c’est tout son corps que Marylène finira par offrir à Clinty… Mais elle choisira de se marier avec un autre, Raoul, le chef du rayon accessoires auto…
«Heureusement la fée Benninkova récupère sa baguette magique et le roman finit dans une explosion qui n’a que peu à voir avec la morale… Réjouissant !
Tiens tiens une histoire de fée… 😉
Chut, il faut pas le dire mais il y aurait une baguette magique à la DLP…
^^
Ah, oui ? ce n’est pas la même baguette que celle du roman, j’espère ?!…
,)
Un petit régal cette histoire de fée et de lutins noirs. Un conte cruel dans une écriture appliquée, jusqu’au bouquet final. Explosif !