Jeudi 25 et vendredi 26 mars 2010, 12 stagiaires des bibliothèques d’Allouis, Avord, Bourges, Nérondes, Saint Amand Montrond, Saint Doulchard, Saint Florent sur Cher, Saint Michel de Volangis et de la DLP sont venus écouter Pascal Desfarges. 
Maintenant, nous savons tout ce qui se cache derrière google, ou presque …
sur la neurobiologie et surtout les lapins …
Je laisse mes camarades de session, grâce à leurs commentaires, donner les informations complémentaires sur ces deux jours de formation, riches en méthodes et astuces pour que les bibliothècaires, désormais, deviennent également de réels médiateurs de l’outil « Internet ».
Bel article, beaux lapins…
Ce stage a été pour moi une réelle découverte sur internet avec un formateur passionné et passionnant, à nous d’exploiter tout cela pour être de bons médiateurs tout en faisant attention à la sérendipité … On regarde Google différemment!
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(..)(..) pour Pascal 😉
Pour ceux qui en doutaient encore, notre travail va « muter ». Il va falloir savoir: chercher, recenser, organiser et proposer les ressources numériques. Les termes de bibliothécaires, discothécaires, vidéothécaires ne seront plus appropriés. Les ressources numériques sont des textes mais aussi des images fixes et animées, de la musique, des sons, de l’art numérique d’une richesse exceptionnelle qui viendront donner encore plus de valeur à nos collections en les diversifiant et en les adaptant à nos futurs usagers. Un stage qui non seulement nous a donné beaucoup de pistes de travail mais aussi qui nous pousse à nous interroger sur nos pratiques et les enjeux du numérique en bibliothèque.Merci Pascal !
En attendant d’autres épisodes de découvertes des outils numériques et de leurs usages avec… Pascal Desfarges au cours de cette année
Durant ces 2 journées nous avons été initiés à la recherche de documentation sur le Web. Nous avons appris qu’il ne suffit pas de taper un mot pour trouver le document le plus pertinent mais qu’il existent des techniques, des formules, des outils (moteurs de recherches nombreux et forts différents). Nous avons eu un aperçu de la richesse d’Internet lorsque l’on sait s’y diriger. D’où l’importance d’une telle formation, puisque le Web devrait maintenant faire partie intégrante des collections des bibliothèques au même titre que tous les autres supports. Deux journées passionantes qui nous poussent à revoir notre conception du métier de bibliothécaire sans en perdre l’essence (je vous renvoie au Manifeste de l’UNESCO)