La fin du premier jet approche lentement mais sûrement, et avec elle mon impatience à conclure grandit. Pendant ce temps, à mesure que l’œuvre se construit, les problèmes de structure se présentent et se résolvent.
Je vous écris depuis plus de six mois, vous me lisez depuis tout ce temps, et pourtant nous ne nous connaissons toujours pas.
Certains et certaines d’entre vous s’exclameront « Enfin ! ». Ou comment est-ce que je mets en marche le processus d’écriture.
Avant de ne plus parler que d’écriture, dernier volet des préparatifs. Petit point d’avancement sur mon nouveau roman, et une proposition pour notre prochain rendez-vous.
A partir d’une photo ou d’une vidéo, laisser les sensations venir, les traduire en mots ou en sons, tel est le défi du jour !
Après le canevas le mois dernier, voici peut-être la chronique la plus importante entre toutes : la construction des personnages. Sans eux, le roman n’existe pas.
Le temps des recherches ne s’interrompt jamais vraiment. Pourtant vient un moment où le besoin d’écrire, de raconter l’histoire devient pressant. Une trilogie préparatoire se met alors en place : le canevas, les personnages, les lieux. Zoom sur le canevas.
Alors que je faisais une pause, les reins cassés par cette terre qui me semblait, au fil des ans, de plus en plus basse, mon regard se porta sur une salade. Une magnifique salade qui montrait son coeur doré comme un soleil, encore toute emperlée de rosée matinale.
Écrire à partir de rien est excessivement difficile pour qui veut entreprendre une œuvre longue : sur le premier, j’étais resté bloqué au bout d’une cinquantaine de pages. Un roman se prépare, et le temps des recherches est fondamental.
