L’épopée des steppes : légendes mongoles avec Patrick Fischmann à la Borne le 13 Décembre 2
Conte, chant, tambour, mandole, guimbarde // Patrick Fischmann nous emporte dans une terre de légendes le 13 décembre à 20 heures
Mongolie
Patrick Fischmann sur France Culture
« La langue des mongols s’inspire du vent, de l’infini et du silence, elle exige d’elle-même trois cent mots pour décrire la robe des chevaux, décline la forme des nuages, dispose d’un terme pour chaque sorte de glace. »
Contes des Sages de Mongolie
Dans l’infini des steppes, le barde aveugle s’avère être le guide clairvoyant, la fille du khan épouse l’étoile,le chasseur devient le compagnon d’une femme-cygne.
L’épopée des steppes – 9ème Partie 1
Visite à la bibliothèque d’Oulan Bator pour préparer le projet de jumelage avec la BDP du Cher.
L’épopée des steppes – 8ème Partie
Au fondement même du légendaire mongol, on trouve l’image du loup céleste et de la biche blanche, Borte Tchino et Ko’ai Maral, ces parents amoureux se jouant des forces dévastatrices, privilégiant l’amour et tressant ensemble la sauvagerie à la beauté.
L’épopée des steppes – 7ème Partie
Difficile en quelques mots de rendre compte du choc émotionnel et de la plénitude qui vient à l’appel de la steppe en nous. Des jours à circuler parmi les montagnes où vivent en liberté des loups, des ciels improbables dessinés par des géants, des regards encore sauvages, rudes et pourtant doux.
L’épopée des steppes – 6ème Partie 1
En écoutant les auteurs mongols et au premier abord, on pourrait croire qu’il existe sinon un conflit de génération du moins un sévère hiatus entre tradition et modernité.
L’épopée des steppes – 5ème Partie
TRÉSORS DE LA BIBLIOTHÈQUE NATIONALE DE MONGOLIE : Les auteurs français et mongols ont donc été reçus dans la très belle salle où sont exposés les précieux livres mongols conservés à la Bibliothèque nationale. Plusieurs centaines de milliers d’ouvrages attendent un nouveau lieu pour être eux aussi mis en valeur.
L’épopée des steppes – 4ème Partie
Né dans la province de Bayan-Olgii, dans l’Ouest, au sein d’une famille de nomades Touvas, Gasan Tchinag a beaucoup publié en langue allemande, langue à partir de laquelle sera traduite une grande partie de son œuvre, et cela dans de nombreux pays dont la France, notamment aux Éditions Picquier.