De l’autre côté du livre, Chapitre 11 : Quand tombe le masque… 1
L’aventure n’est pas finie, mais il va devenir difficile de me cacher plus longtemps.
L’aventure n’est pas finie, mais il va devenir difficile de me cacher plus longtemps.
Dans mon dernier billet, j’avais perdu pied, en proie au doute, au découragement. A peine quelques jours après vous l’avoir proposé, la situation s’est complètement renversée.
A cette saison, pour beaucoup viennent les vendanges. En ce moment, pour moi, viennent plutôt les vertiges.
Une belle surprise avec le dernier livre de Laurent Gaudé.
Souvenez-vous de « La mort du roi Tsongor » ce magnifique texte.
Avec « Ouragan » on retrouve cette écriture singulière, cette dimension de tragédie.
La fin du premier jet approche lentement mais sûrement, et avec elle mon impatience à conclure grandit. Pendant ce temps, à mesure que l’œuvre se construit, les problèmes de structure se présentent et se résolvent.
Tout juste 17 ans et auteur d’un roman explosif représentant le tiers de son œuvre, puisque seulement deux autres textes furent écrit en 1974 : La serre et J’eusse aimé.
A lire la traduction mais surtout à voir la photographie de couverture, on se dit que l’ouvrage doit être très croustillant ! Soyons honnête, il l’est !
Je vous écris depuis plus de six mois, vous me lisez depuis tout ce temps, et pourtant nous ne nous connaissons toujours pas.
Un grand mais discret acteur, réalisateur-scénariste, écrivain et voyageur-humaniste vient de nous quitter à seulement 63 ans : Bernard Giraudeau, des suites d’un cancer (encore un, après Dennis Hopper et bien d’autres artistes rattrapés par le crabe)… Petit hommage avec son film sur l’esclavage au Sénégal au temps des Lumières (« Les Caprices d’un fleuve », 1996).