De l’autre côté du livre, chapitre 36 : fin de série… 1
Un dollar le baril, au fil des dernières semaines, a fait l’objet de premiers retours de lecture, de critiques, d’articles de journaux.
Un dollar le baril, au fil des dernières semaines, a fait l’objet de premiers retours de lecture, de critiques, d’articles de journaux.
Le temps des dédicaces est venu. C’est moins l’exercice en lui-même qui est intéressant que les rencontres qu’il permet.
Le moment tant attendu arrivait à grands pas, près de trois années pleines après la fin du premier jet. Le 21 janvier devait être la date fatidique…
Après le contrat d’édition, le texte est prêt à se transformer en livre… Et la première partie visible de cette transformation, avant même les épreuves, consiste à choisir une couverture.
A peine remis des émotions provoquées par un coup de fil, ou un mail, une véritable délivrance après un an et demi d’attente et de désillusions…
Même au bout de dix mois entiers, il peut surgir des entrailles germanopratines des réponses à nos envois de manuscrits… et quelle réponse ! Sans aucun doute la plus belle de ma collection, sans ironie aucune. Je ne résiste pas à l’envie de vous la faire lire
Enfin, je vous avais prévenus. Ecrire, à côté d’attendre on ne sait quoi, on ne sait pas combien de temps, on ne sait pas vraiment pourquoi, c’est un plaisir, de la rigolade, même quand c’est difficile, et j’ai déjà eu l’occasion de vous décrire les affres de la création.
Toujours rien… Six mois pleins, et pas de réponse. Aucun des trois éditeurs importants n’a pour l’instant fait savoir ou non son intérêt pour Un dollar le baril. Pas plus que son désintérêt.
Cela fait maintenant cinq mois et quelques jours, j’envoyais à une poignée d’éditeurs le tapuscrit d’Un dollar le baril.