Ce vendredi 18 février : concert exceptionnel Eric Lareine – Amoureux des mots, venez !


« On ne sort jamais indemne d’un spectacle d’Eric Lareine.
Souffle coupé comme par un uppercut au plexus, muet et vacillant de voir ainsi nos repères brouillés, mais forcément ragaillardi d’avoir été si profondément touché, et pour longtemps… »

Bonjour à tous,

Voilà, c’est ce vendredi : Eric Lareine et leurs enfants à Pigny, seule date en Région Centre dans le cadre d’une tournée nationale…
Ne la ratez pas !
Le Carroi est ravi de vous proposer de (re)découvrir cette figure de la chanson française : c’est aussi l’occasion pour nous d’appeler à votre mobilisation pour que nous puissions continuer à vous proposer des spectacles tout au long de l’année !
Si vous hésitez, faites mieux connaissance avec Eric Lareine à la suite de ces lignes  : quelques extraits de sa revue de presse qui en disent long…

VENDREDI 18 FEVRIER 2011, à partir de 20h30
Salle des fêtes de PIGNY

ERIC LAREINE ET LEURS ENFANTS
Avec :
F. Cavallin, batteries, percussions
F. Gastard, saxophone, claviers
P. Maupeu, guitares électriques
PREMIERE PARTIE : PULCINELLA
Entrée 14€
Tarif réduit 10€ pour les demandeurs d’emploi et adhérents à l’association Le Carroi

Billetterie sur www.lecarroi.fr / 06 63 77 69 13 et sur
www.fnac.com, www.francebillet.com etc…
Par téléphone : 0892 68 36 22 (0,34€/min)
frais de location en sus…

Concert organisé avec le soutien du Pôle régional Chanson porté par la Région Centre, du Conseil Général du Cher, de la commune de Pigny.
Plus d’infos sur www.lecarroi.fr

Extraits de presse

Un ovni discographique qui ébranle et éblouit. Inventif et subversif. (…)
Cela fait plusieurs mois qu’on n’avait pas entendu un album de cette force-là.
Valérie Lehoux – Télérama (4f)

10 pépites inclassables de radicalité, sauf à les poser à cotés de celles ramenées par
d’autres chercheurs de trésors : Robert Whyatt, Alain Bashung, Jacques Higelin, Rodolphe Burger…
Jean-Manuel Escarnot – Liberation.fr

Chanteur, merveille, Eric Lareine, ailé, tendre, dont l’être entier chante et danse.
Francis Marmande – Le monde

Là où la musique sert le verbe dans une douce folie, là où la chanson frise l’anti-chanson, mais où toujours le
mot s’écorche à bon escient, trône le nouvel album d’Eric Lareine. […] Après dix ans d’absence, Eric Lareine
nous offre ici quelques vrais perles de poésie …
Xavier Michel – Francofans

Une gueule qui fait autant penser à Keith Richards qu’à Jacques Higelin, un talent au moins
aussi délirant et une excentricité sans limite, ce phénomène qui cultive avec un certain bonheur
les improvisations nous présente un album éponyme des plus ahurissants …
Bienvenue chez Eric Lareine et Leurs Enfants !
Fred Delforge – Zicazic

Auteur de la trempe d’un Allain Leprest nourri aux vers de Léonard Cohen et au rock du groupe
londonien les Inmates, le chanteur nous ouvre les portes de son royaume.
Frederic Garrat – RFI

C’est avec toute leur énergie, leur spontanéité, leur rage créatrice qu’ils libèrent les mots du
poète, qu’ils incarnent ses personnages, humains, objets ou choses.
Elsa Songis – Longueur d’Ondes

Un jongleur de mots qui se fait tantôt lyrique, ironique, mordant… Une perle.
Ouest France (à propos d’Eric Lareine)

Sauvage, carré, puissant et rentre dedans, le nouveau répertoire d’Éric Lareine est frappé du sceau de
l’urgence et reste à dévorer sans modérations.
Jean-Philippe Birac – Intramuros

La puissance d’interprétation d’Eric Lareine est sans égal.
Ce type est l’incarnation de la poésie et du rock and roll.
Gestes et mouvements prolongent la voix et diffusent le propos.
Vous avez affaire à de l’exception, du brut 40 carats de la chanson.
Il a mis son talent au service de quelques joyeuses créations collectives depuis un bon moment et il revient
pour déballer son sac : nous attendons la livraison avec impatience.
Son écriture respire dans le noir, rappelant la grande littérature américaine: des gueules cassées déboulent
dans des univers improbables et des flots de sentiments se bousculent au portillon. L’auditeur est chahuté, le
spectateur est trimballé, les sons sont amples, le temps est bouleversé. Et puis il y a ce sourire qui passe au
dessus des histoires et qui remet la lumière….
Philippe Pages – Le Bijou

On ne sort jamais indemne d’un spectacle d’Eric Lareine.
Souffle coupé comme par un uppercut au plexus, muet et vacillant de voir ainsi nos repères brouillés, mais
forcément ragaillardi d’avoir été si profondément touché, et pour longtemps…
Michel Clavel – Le Progrès

Admiré par Nougaro et bien d’autres, il reste tapi dans son repaire de la rue de la Colombette,
faisant un immense bras d’honneur au monde cruel. Mais un jour cela finira bien par se savoir : il y a à
Toulouse un homme au sourire de gosse, à la voix qui vous déchire, au corps qui vole dans l’air sur un
sanglot d’harmonica. Cet homme c’est Éric Lareine, un baladin blues-rock exceptionnel, respect total.
Gil Pressnitzer – Esprits nomades

Charnel, voué à la matière autant qu’à l’élévation, il n’est que voix et danse, natte battante, mains sans cesse
frottées comme pour modeler la note et la parole. Duel, tout aussi bien, rompu, partagé entre l’obscur et
l’éclat, mi-parti de noir de fumée et d’ardeur solaire comme doit l’être tout prince du rock. Fuligineux,
mâchoire bloquée. Sourire de gosse, étincelant.

Et debout avec lui, trois musiciens de haute volée, paladins de l’improvisation, de la finesse et de l’énergie.
Fred Cavallin, on a pu l’entendre il y a peu, au même endroit, accompagnant les fantaisies musico-culinaires
de Don Pasta : batterie légère, syncopée, amoureuse du son haut et froissé de la caisse claire, des cymbales,
de l’écho bref du bois frappé, que vient ravager soudain le battement sourd et brutal des toms profonds.
Frédéric Gastard ? Le plus manifestement frapadingue, portant comme une plume un sax grand comme un
immeuble d’où il tire d’improbables notes perchées, des souffles lisses ou rauques, jonglant avec tube et
claviers selon humeur ou besoin. Pascal Maupeu, (…) ici un arpège doux et tintinnabulant, là un hurlement
sauvage de monstre fantasy – une manière comme une autre de cacher éclectisme et plasticité du jeu, de peser
ou élever.
Les enfants de Lareine, et leur père avec eux, debout. Rock’s not dead. Amen.
Jacques-Olivier Badia – Le clou dans la planche

  

 

 

 

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A propos de lecarroi

Depuis 2008, l’association Le Carroi organise une programmation culturelle sur la Communauté de Communes des Terres du Haut Berry, de communes en communes. Dans le Cher, elle mène des actions culturelles autour de l’organisation du spectacle vivant et accompagne des équipes artistiques pour le développement de leurs projets. Le Carroi est ouvert à toutes collaborations dans le département du Cher !

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