Des Berrichons à la bibliothèque française de Galati (suite et fin) 3


DSC_0253Hier au soir, Pierre Gillardot, vice-président de l’association des Amis de la bibliothèque française Eugène Ionesco de Galati (Roumanie) nous a fait une conférence sur le rôle social et culturel des gares. Son exposé était agrémenté de lectures d’extraits de romans sur les gares, de projections et le théâtre Avaricum a rejoué trois des scènes de la pièce « Les Pas perdus » de Denise Bonal pour compléter le propos. Tout cela était passionnant et très agréable à écouter. L’assistance composée de français et de roumains était sous le charme et à la fin de la conférence, un des auditeurs roumains nous a parlé de la gare de Galati et du pourquoi de son étrange situation géographique par rapport au centre de la ville.

DSC_0269Ce matin, tout le groupe de Berrichons avait rendez-vous à 8 h 00 du matin pour aller visiter la citadelle d’Enisala. Pour cela, il fallait prendre le bac pour traverser le Danube. Le temps était un peu couvert, mais au fil de la journée, il s’est amélioré et c’est sous un franc soleil que nous avons sillonné la Dobroudja très verte à cette époque de l’année. Vers 11 h 00, nous arrivions au pied de la citadelle que vous pouvez voir dans le film « Capitaine Conan ».

DSC_0363

Le lieu et ses alentours sont magnifiques. Il y a une lagune, toute sonore du chant des grenouilles, des troupeaux de moutons et de chèvres accompagnés de leurs bergers et surplombant tout cela, la citadelle médiévale ! Nous avons tous rempli nos yeux, nos oreilles et nos poumons pour en garder longtemps le souvenir.

De retour à Galati, à 18 h 30, nous retrouvons la bibliothèque française où nous attendent nos amis roumains de la bibliothèque et les stagiaires de nos différents ateliers pour une fête d’adieu et un dernier échange. Deux des stagiaires de l’atelier contes sont là, mortes de peur mais avec l’envie de raconter le conte que nous avons travaillé. Je vais aller les rejoindre pour les encourager.

Et puis, il sera temps de se quitter pour rentrer en France avec de merveilleux souvenirs et au coeur, la chaleur de l’accueil  de nos amis de Galati qui aiment tant notre langue !

La revedere (au revoir) et à bientôt !


Laissez un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

7 + 1 =

3 commentaires sur “Des Berrichons à la bibliothèque française de Galati (suite et fin)