Comme il est cruel ce miroir
Qui ne laisse aucun espoir
Ni le satin de mes chaussures
Ni la beauté de la verdure
Encore moins l’éclat de mon collier
ne sauraient faire oublier le voilier
De la vie et la douceur du temps calin
Même si je n’avais à lire que le bottin
Pour justifier de mettre mes lunettes
Je choisirais de toutes façons le parfum de la noisette. Bernadette.