Petite réponse aux  » Bouts rimés « 


Comme il est cruel ce miroir

Qui ne laisse aucun espoir

Ni le satin de mes chaussures

Ni la beauté de la verdure

Encore moins l’éclat de mon collier

ne sauraient faire oublier le voilier

De la vie et la douceur du temps calin

Même si je n’avais à lire que le bottin

Pour justifier de mettre mes lunettes

Je choisirais de toutes façons le parfum de la noisette.       Bernadette.

Laissez un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

7 × = 42